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Abstract

Je liens a remercier Mr. Ie Professeur Rouholamini et Mr. Mirzai de la Facuite de Sciences Sociales de ltuniversite de Teheran et leurs collegues du departement d'Ethnologie, dtavoir bine vloulu mtinviter a faire une communication dans leur departement. Doivent ctre egalement remercies, MM. J. Rafifar et M. Kotobi pour avoir si aimablement accepte de Caire une traduction simultanee ainsi que les eludiantes et les etudiants pour avoir participe a ce seminaire. c' est cette court confernce, legerement remaniee, qui, se trouve ici resumee.
D. Gazagnadou, dOCleur en Anthropolgie, licencie de philosophie, est maitre de conferences au department d' Anthropologie de I 'universite de Paris 8 et chercheur associe dans I' U.M.R 155 du C.N.R.S. Monde Iranien.
II est I' auteur d ' articles et des livres sur des cas de diffusions culturells



et techniques: de l'Iran mongole vers Ie sultanat Mamelouk, du Monde arabe Vers L'Europe; sur des proble:mes de methode en Anthropologie historique.
Ses recherches en Iran portent sur les techniques en general. Pour les periodes pe - moderne et contemporaine, leurs origines, leurs eventuels impacts sur les societe iraniane.
Dans cette communication, D. Gazagnadou essye d'aborder, L'importance des diffusions technologiq ues en anthropologie historique.
II nailS eclaire deja sur quatre points:
de taus temps et en taus lieux, il y a des emprunts technologiques et que, c' est I 'un des elements qui voyage probablement Ie plus vile.
pour qu'un objet technique se diffuse, il faut qu'il puisse s'agencer dans Ie nouveau complexe technico-culturel, c'est-a-d:re qu'il corresponde a l'univers mental, imaginaire, culturel de la societe ou du groupe emprunteur.
que la technique possede sa propre logique, souvent irreversible et transformatrice du social, tout simplement a cause de l'efficacite qu'elle produit.
que l'on ne peut separer la technique, meme la plus simple, de la science et du savoir en general, ce que malheureusement I'on oublie trap souvent en anthropologie des techniques.